28 mars 2014

Leçons sur les crises financières (2ème partie)

Pour la deuxième partie, vous allez comprendre comment le taux d'inflation officiel est truqué et pourquoi la déflation est mauvais pour l'Etat.

27 mars 2014

Interview avec Thibaud Eigle de l'Ecole des Finances Personnelles (2ème partie)

Voici la suite de l'interview et ouvrez vos yeux :

6. Pouvez-vous rappeler les principaux facteurs de la faillite de la France ?

De manière très pragmatique, il existe 3 critères fondamentaux qui permettent d’affirmer que la France est en situation d’insolvabilité :

- Le ratio dette/recette fiscale : en 2012, les recettes fiscales de l’Etat français étaient de 290 milliards d’euros environ. Notre dette est de 1833 milliards d’euros (sans compter le hors-bilan qui se monte à plus de 3000 milliards). Cela signifie donc qu’il faudrait à l’Etat français plus de 6 années de recettes pour rembourser la dette nationale tout en arrêtant dans le même temps tout service public.

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24 mars 2014

Olivier Delamarche - BFM Business - 24/03/2014

Interview avec Thibaud Eigle de l'Ecole des Finances Personnelles (1ère partie)

Je vous propose pour le début du printemps, une interview questions-réponses en deux parties avec Thibaud Eigle, fondateur de L'Ecole des Finances Personnelles sur les thématiques traitées régulièrement sur mon blog GenY Finances dont les Français feraient mieux d'ouvrir leurs yeux.

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23 mars 2014

Leçons sur les crises financières (1ère partie)

En cinq parties, je vous propose d'approfondir par différentes vidéos, votre culture financière. La première vidéo permettra de comprendre le fonctionnement du système financier tandis que la seconde est une brève intervention de Thierry Béchu qui travaille actuellement chez Lombard Odier Asset Management à propos de la crise des subprimes.


11 mars 2014

Les valeurs du SBF 120 boudées ou massacrées

Un CAC 40 a atteint son sommet historique depuis 5 ans. Vous vous dites que les investisseur de long terme ont repris confiance et sont prêts à mettre une partie de leurs économies sur la Bourse. Malheureusement, selon les propos du trader Jean-Louis Cussac sur BFM Business, les flux fondamentaux ne sont pas présents. Cela dit, il y a des opportunités d'investissement. Plutôt d'être focalisé sur le CAC 40, regardons avec un oeil avisé le SBF 120, qui regroupe des valeurs moyennes en plus des 40 valeurs de l'indice phare du Palais Brogniart.

Pour détecter le potentiel de hausse d'une valeur, il faudra se baser sur quelques critères d'analyse fondamentale et technique. Du coté fondamental, l'environnement du secteur, les relais de croissance, le niveau d'endettement et la solvabilité permettront de se faire une idée de la qualité de l'entreprise. Au niveau de l'analyse technique, les phases 1 ou 4 du cycle de Weinstein vont nous aider d'optimiser le timing d'une prise position à l'achat.
Voici 4 valeurs du SBF 120 à parier à moyen-long terme en données hebdomadaires au 7 mars 2014 :

Bourbon (PAR : GBB)


- Réduction de sa dette par quelques cessions de sa flotte maritime
- Bénéficiaire de la cherté du prix du pétrole

Danone (PAR : BN)


- Possible cession de son pôle Nutrition Médicale
- Réduction des coûts opérationnels en Europe
- Croissance saine dans les pays émergents dans les années à venir (même si pour l'instant ça reste tendu à court terme)

Vallourec (PAR : VK)


- 2/3 du chiffre d'affaires dans le domaine du Pétrole-Gaz
- Bénéficiaire de la cherté du prix du pétrole
- Émergence à court terme du gaz de schiste via ses tubes d'acier de haut de gamme

Essilor (PAR : EI)


- Entreprise à caractère défensif
- Positionnement dans la vente d'optique en ligne
- Croissance dans les pays émergents dans les années à venir

Olivier Delamarche - BFM Business - 10/03/2014

2 mars 2014

Ne pas condamnez les pays émergents !

Depuis 2012, les pays émergents montrent des signes de faiblesses au niveau de la croissance économique. La principale cause est l'affaissement du commercial mondial lié à la récession en Europe et à la timide reprise aux USA. Par ailleurs, leur expansion économique qui a commencé aux début des années 2000, cachait des problèmes structurels : corruption dans les affaires publics et privées, déséquilibre de leur modèle économique essentiellement basé sur les exportations, insuffisance de la protection sociale. De plus, certains pays émergents sont dépendants des capitaux extérieurs. Pour enfoncer le clou, des révoltes sociales ont éclatés et leur devises ont subi les foudres de la spéculation.
Aujourd'hui, les sociétés de gestion les boudent et préfèrent les marchés occidentaux en croyant que les USA retrouveront leur croissance d'antan et l'Europe voit le bout du tunnel. En gros, tout est rouge et noir du coté des pays émergents. Faut-il les condamner pour de bon ? Pour ma part, je ne pense pas. Par contre répertoriez sur un tableau synthétique pour chacun, leurs atouts et leurs faiblesses, permet de faire leur tri entre les tops et les flops.